Projet G5

J'ai remarqué que dans les vieux amplis, il y avait cette corrélation directement appliquée sur les spécs du transfo d'alim, ceci éviter d'adjoindre ces fameuses résistances de protection d'anodes.

Maintenant à chacun de voir midi à sa porte, doubler la valeur de la puissance au secondaire en utilisant un PM et utiliser une redresseuse n'est vraiment pas ma tasse de thé.

Ce qui me fait dire ça est que j'ai pu tester le G5 sur de la HT fournie par des batteries de 250Ah, soit un transfo idéal, et bien rien à voir au niveau comportement, donc plutôt adepte d'alim sévèrement burnée

donc plutôt adepte d'alim sévèrement burnée

Ce qui veut donc dire, un transfo puissant (capable de fournir un fort courant) avec un enroulement sans PM et une rectification par pont de Graetz, c'est ça?

Par forcément,
- simple bobinage oui
- pont de Graetz oui

Mais ensuite tout vient du filtrage, donc L/C quand c'est possible et là on peut obtenir des puissances inférieures de HT sans pics de courant

vitriol82 a écrit : Ce qui me fait dire ça est que j'ai pu tester le G5 sur de la HT fournie par des batteries de 250Ah, soit un transfo idéal, et bien rien à voir au niveau comportement, donc plutôt adepte d'alim sévèrement burnée

Du vrai B+ !
Ce doit être chouette, comme test !
Le filtrage était celui du G5V3, i.e. LC et tout le toutim ?

Non, le filtrage L/C n'a aucun intérêt dans ce cas car aucune composante alternative, batterie directement branchée à la première capa.
L'alimentation en batteries provenait du banc de test qu'il y avait dans mon ancienne boite où l'on testait des alim d'alimentation de secours de sécurité en tension continue (jusqu'à 220Vdc 30 kVA ), ce n'était pas les 150mA de l'ampli qui allait effrayer le pack batteries.

Dans le lien de pote guy on remarquera que l'esr est bien de 1.9R pour une valeur de 50µF, je dois avoir un data général qui traine afin que vous puissiez mettre les bonnes valeurs dans vos simulations PSUD