Merci Warteko, et félicitations pour ton esprit d'à-propos.
EDIT : le texte paru sous le lien que tu nous indiques est tellement intéressant qu'il mérite pour une large part d'être traduit, ce que je vais faire dans un nouveau fil.
Je qualifiais mon approche de basique mais en fait c'est la bonne. Si Ian White commence par dire que le power rating et le tone résultant sont liés , ce n'est pas du tout pour confirmer qu'en poussant le HP dans ses limites on atteint le nirvana mais au contraire pour signifier que le HP donne toute sa personnalité dans la gamme de puissance pour laquelle il est conçu et ceci dès le premier milliwatt.
Je pensais que nos HP guitare étaient linéaires jusqu'à un certain point (comme les HP hifi ou de sono) puis entraient à partir d'une certaine puissance dans une zone de distortion. Ian White nous explique au contraire qu'ils sont non-linéaires d'un bout à l'autre des fréquences et "dès les premiers microvolts". La manière dont ils peuvent sonner à la limite de leur puissance peut être légèrement altérée mais le gain de distortion produit l'est davantage par l'ampli que par le HP.
Je pense donc qu'un HP qui encaisse 300W ne se comporte pas comme un HP qui encaisse 15 ou 30W, avec un ampli qui en délivre 6 ou 10, pour prendre des valeurs un peu extrêmes.
Ca c'est certain. D'après Ian White ,le HP de 300 W est tellement protégé en raison de la puissance qu'il peut absorber qu'il peut sonner relativement plat à une puissance limitée par rapport à un 30 W conçu plus légèrement, disons. N'empêche , inutile d'approcher les 300 W pour faire sonner la bête, 200 W devraient suffire
Amicalement